Recette du Vrai Gratin Dauphinois – Étape Champagnole – Le Grand Bornand #6
Étape du Jour du Tour de France Femmes avec Zwift : Champagnole – Le Grand Bornand
la Recette du Vrai Gratin Dauphinois
Étape du jour : Champagnole – Le Grand Bornand
Pour cette étape reliant Champagnole au Grand Bornand. « Les mains sur les cocottes » met à l’honneur une recette emblématique de la cuisine française : le vrai gratin dauphinois. Ce plat traditionnel de la région Rhône-Alpes, reconnu pour sa simplicité et son goût riche, est parfait pour accompagner une étape intense en pleine montagne.
Le Gratin Dauphinois : Une Icône de la Cuisine Française
Originaire du Dauphiné, ce gratin se distingue par son mariage parfait de pommes de terre fondantes, de lait, de crème et d’aromates. Sans fromage ni œufs, le vrai gratin dauphinois repose sur la douceur des pommes de terre et la cuisson lente qui sublime chaque ingrédient. Ce plat familial, synonyme de convivialité, est un classique incontournable des tables françaises.
Ingrédients pour le Vrai Gratin Dauphinois :
- Pommes de terre (variété à chair ferme comme la Charlotte)
- Lait entier
- Crème fraîche
- Ail (pour frotter le plat et parfumer la préparation)
- Beurre
- Sel et poivre
- Noix de muscade (facultatif, pour une touche parfumée)
Suivez la vidéo pour découvrir tous les détails et astuces pour réussir ce plat traditionnel.
Un Plat Réconfortant pour une Étape Intense
Alors que les coureuses traversent des paysages spectaculaires entre Champagnole et Le Grand Bornand. Le gratin dauphinois célèbre la richesse gastronomique de la région Rhône-Alpes. Ce plat, à la fois rustique et raffiné, reflète l’esprit de partage et d’authenticité que prône « Les mains sur les cocottes » à chaque étape du Tour de France Femmes avec Zwift.
Pour l’histoire, le 12 juillet 1788, un mois et quelques jours après la Journée des Tuiles. Le duc de Clermont-Tonnerre, lieutenant général du Dauphiné, préside à Grenoble un repas pour les officiers de la ville de Gap. C’est à cette occasion, pré-révolutionnaire, qu’aurait été servi le tout premier gratin dauphinois. C’est en tout cas la belle histoire qui se transmet, de bouche à oreille, d’Isérois à Isérois et de livre en livre.