AU COEUR DES SPACER’S numéro 3 NICOLAS ROSSARD « Je n’ai aucune raison de partir »

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Aprés la réalisation du programme de match des filles du Toulouse Métropole Basket, les pitchounes s’engagent dans une nouvelle aventure avec les volleyeurs des SPACER’S. Pour chaque rencontre à domicile, les jeunes iront à la découverte de ces sportifs qui vivent leur passion un peu dans l’anonymat des clubs phares toulousains et d’une pratique d’un sport trop peu médiatisé à notre gout.  
Bercé depuis sa tendre enfance par les exploits d’une famille de volleyeur, il a gouté à différents sports avant de suivre la voie familiale. Champion d’Europe juniors, il compte bien se faire un prénom pour le plus grand bonheur du club qui le voit sans cesse progresser et auquel il s’est imposé au poste de libéro.

Media-Pitchounes : Depuis quel âge joues-tu au Volley?

NICOLAS : Je pratique le volley depuis l’âge de 14 ans, au début je faisais du foot et du tennis. Ma famille étant toute dans le volley depuis plusieurs générations, je le pratiquai en tant que loisir. Puis j’y suis venu au fil du temps en démarrant par du Beach, un ami m’a alors proposé de m’essayer au volley dit « traditionnel » ici à Toulouse …

M.P : Tu as toujours évoluer ici ?

NICOLAS : Oui, mon premier club à 14 ans fut le TOAC-TUCVB… J’ai ensuite rejoint le Pôle France au centre national de Volley-ball pendant deux saisons avec lequel nous avons remporté le titre européen juniors  avant d’intégrer l’effectif professionnel toulousain la saison dernière.

M.P : Te vois-tu un jour évoluer ailleurs qu’à Toulouse ?

NICOLAS : Peut-être un jour, évoluer dans des clubs du « temple du volley » comme Poitiers, ça me ferait beaucoup plaisir, mon père y a joué il y’à quelques années, il en a gardé de grands souvenirs, mais pour l’instant, je suis bien ici, je n’ai aucune raison de partir.

M.P : Tu as un rôle spécial, en quoi consiste ce poste de libéro ?

NICOLAS : La plupart du temps, c’est le plus petit de l’effectif, c’est celui qui défend et qui réceptionne. On ne monte pas au filet, ni pour les phases d’attaques, ni pour les contres, mais notre rôle est en général de recevoir les « gros » impacts des attaquants adverses. Il faut avoir une bonne lecture du jeu et beaucoup de reflexes pour pouvoir jouer sur le temps de réaction.

M.P : Quels études poursuis-tu en parallèle de ta carrière de volleyeur ?

NICOLAS : Je suis dans une école d’ingénieur à l’INSA de Toulouse à Rangueil en deuxième année d’informatique.

MP : Quels sont tes meilleurs souvenirs de ta jeune carrière?

NICOLAS : Lors de ma première année, c’est les phases finales de la coupe de France, où l’on a terminé huitième, ensuite l’inter-Pôle, avec ce titre de champion des pôles espoirs et ce titre européen avec l’équipe de France juniors en 2008. Je rajouterai dans mes meilleurs souvenirs mon tout premier match avec Toulouse.

M.P : Quel est  ton surnom au sein de l’équipe ?

NICOLAS : (rire) J’en ai plusieurs !
J’ai un petit surnom, en langage Tchèque, Nico bien sûr et…Rodolphe !

M.P : En tant que toulousain,  Es-tu  plus TFC ou Stade Toulousain ?

NICOLAS : Tu ne devrais pas me poser la question! Stade Toulousain bien sur!
C’est une question qu’on ne pose pas à un toulousain ! (rire)

Association MEDIA PITCHOUNES
Propos recueillis par :
Adjila
Antar
Souleymane
Abla
MJC Prevert
NOVEMBRE 2010

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